14 abr 2013

Paracas (Perú)

Paracas es un minúsculo pueblo de la costa peruana, que se caracteriza por dos cosas: estar situado encima de dos placas tectónicas que chocan periódicamente (última vez en 2007, terremoto de 7.9 y tsunami posterior) y tener al lado las Islas Ballestas, donde viven pingüinos, leones marinos y sobre todo pájaros, muchos pájaros. Esto, aunque no lo parezca, fue determinante para la economía de Perú durante el siglo XIX, ya que su mayor producto de exportación fue el guano (excremento de pájaro), muy apreciado como fertilizante para los campos de Europa y Norteamérica. Como dijo el guía, en Perú tienen la mejor mierda.

Así que nos dirigimos tempranito a ver los pájaros cagones, en barco y con un buen sombrero (por si acaso). Las islas son preciosas, pero se quedan pequeñas para el número de habitantes (unas 500.000 aves). Los leones marinos estaban en plena época de cría, así que vimos un montón aprendiendo a nadar. También vimos pelícanos, delfines, pingüinos... Jacques y Thomas se iban a caer del barco haciendo fotos...

Por la tarde visitamos el Parque Nacional Paracas, parte del desierto de Atacama, el más seco del mundo y que en otro tiempo fue el fondo del mar. Lo bonito aquí son las montañas de sedimentos marinos, las playas de arena roja y los acantilados.

Resumen de Paracas
Lo mejor: celebrar los 30 años brindando con pisco sour a la orilla del mar
Lo peor: el olor que flota en el ambiente, no poder llevarnos un pingüino a casa

--------------------------------------------------------

Paracas est un petit village de la côte péruvienne, qui se caractérise pour deux choses : être situé au-dessus de deux plaques tectoniques qui se percutent de temps en temps (la dernière fois en 2007 avec un séisme de 7.9 et un tsunami en prime) et avoir à côté les îles Ballestas (littéralement Arbalètes), où vivent pingouins, lions de mer et surtout des oiseaux, beaucoup d'oiseaux. Même si ça peut sembler étrange, cela a été déterminant pour l'économie du Pérou au XIXe, puisque son produit d'exportation le plus important était le "guano" (excrément d'oiseaux), très apprécié comme fertilisant pour les champs d'Europe et d'Amérique du Nord. Comme l'a dit le guide, le Pérou a la meilleure merde du monde...


Ainsi, on s'est levé tôt pour aller voir les oiseaux, en bateau et avec un chapeau bien arrimé à la tête (au cas où). Les îles sont magnifiques, mais elles semblent petites pour le nombre d'habitants (environ 500000 oiseaux). Les lions de mer étaient en pleine époque de reproduction, donc on a vu plein de petits apprenant à nager. On a aussi pu voir des pélicans, des dauphins, des pingouins... Jacques et moi ne savions plus où donner de l'objectif...

L'après-midi, on a visité le Parc National Paracas, qui fait partie du désert d'Atacama, le plus aride au monde, et qui en d'autres temps était un fond marin. L'attrait ici sont les montagnes de sédiments marins, les plages de sable rouge et les falaises.

Résumé de Paracas
Les plus : fêter les 30 ans de María en trinquant avec du Pisco Sour au bord de mer
Les moins : l'odeur ambiante (due au guano), ne pas pouvoir emmener un pingouin avec nous

Paracas (Perú)


1 comentario:

  1. Es una sutil forma de recordar el cumpleaños, cuando, te ponen delante de los ojos un corazón que dice hoy es mi cumpleaños, que no se te olvide felicitarme. FELICIDADES.

    ResponderEliminar

Comentario / Commentaire